1853
Durant le vivant de Joseph Hertel (Époux de Catherine Philippe, héritière de Laurent Philippe), le fief est appelé Pierreville pour la première fois dans les documents d’archives. Selon la Commission de toponymie du Québec, le nom serait inspiré du nom du lac Saint-Pierre et créé en 1723, mais certains prétendent que la source du nom de Pierreville viendrait des noms de Pierre Philippe et Pierre Hertel, fils et petit-fils de Laurent Philippe, et ce nom fût créé en 1700.
1855
Le projet de construction d’une église vient de l’abbé Joseph Anselme Maurault (1819-1870), curé de la paroisse de Saint-François-du-Lac et missionnaire pour la communauté d’Odanak qui avait comme idée d’ériger une nouvelle paroisse sur la rive droite de la rivière Saint-François. Monseigneur Turgeon offre alors gratuitement un terrain pour construire une église et un presbytère. Les travaux ont commencé en hiver 1853.
L’église à une longueur de 127 pieds et une largeur de 64 pieds. L’inauguration a été faite par Monseigneur Cooke le 27 septembre 1855 devant une foule de 4 000 personnes. L’architecte de ce bâtiment reste un mystère, par contre, selon l’historien Jacques Boisvert, « deux caractéristiques de la façade nous conduisent à l’architecte Victor Bourgeau. » Cette église ferait partie des premières réalisations de l’architecte qui est reconnu pour sa création de l’intérieur de la basilique Notre-Dame à Montréal.
« La fabrique aurait fait confectionner un tabernacle à Lyon, un orgue a été fabriqué par Ovide Paradis de St-Michel de Yamaska et que son clocher possède une magnifique cloche pesant 627 livres. » Cloche qui sera donnée à la paroisse de Saint-Elphège en 1886 et remplacée par trois cloches. On retrouve ces cloches dans le monument décoratif situé près du Salon funéraire Houle et Frères.
L’église de Saint-Thomas c’est construite en seulement 18 mois, qui est pour l’époque un exploit. Cette rapidité d’exécution serait dû à l’union des paroissiens. Comme quoi des citoyens unis peuvent réussir grandement.
« En 1900, la fabrique engage des frais pour la rénovation de l’intérieur et l’extérieur de l’Église. Construction du deuxième jubé, qui était réservé à l’usage exclusif des élèves du couvent et de leurs professeurs. Les vitres des verrières de la façade ont été modifiées. Les deux entrées latérales ont également été ajoutées. Les boiseries au –dessus du clocher lui-même ont été améliorées. […] Cependant, les deux statuts de coins ont été enlevés et à l’intérieure la chaire n’y est plus. » Selon les experts, cette église est un bâtiment unique, car la conception de sa façade est tout à fait original.
Près de 40 ans après la construction de l’église, le peintre parisien très populaire au XIXe siècle, L. Chovet, crée Le chemin de croix une œuvre réalisé à Paris pour l’église de Saint-Thomas. Ces œuvres sont gardés en Alsace, dont une identique à celle qui avait été faite pour notre église se trouve à l’église de la paroisse de Saint-Gall. Un autre tableau, celui « de Saint-Thomas, patron de la paroisse, orn[ait] le chœur de l’église depuis 1876. Ce tableau d’autel est l’œuvre de Cesare Porta, peintre italien. L’œuvre a été réalisé à Rome. »
L’entretien de l’église de 1855 à 2012 a été pris en charge par des bénévoles de la paroisse qui se sont grandement impliqués pour leur communauté. Par la suite, faute de moyens financiers, la fabrique vend l’église à la municipalité de Pierreville. Par contre, la municipalité n’a pas pu trouver d’autres vocations pour ce bâtiments et après que la Coopérative de solidarité et de santé Shooner/ Jauvin en fait l’acquisition, la solution qui est ressortie est de démolir complètement le bâtiment en 2016, car celui-ci était trop endommagé et générerait des coûts faramineux pour le restaurer.
Merci à Monsieur Sylvain Lafond pour le dessin de l’église.
1866
De 1866 à 1878, la Compagnie des moulins Tourville était une des plus importantes scieries de la région. La proximité avec le fleuve Saint-Laurent permet d’exploiter au maximum les ressources forestières. « À cette époque, la drave était intense sur la rivière Saint-François. Le courant apportait les billots d’une distance de cent milles en amont de Pierreville, c’est-à-dire des limites de la frontière américaine. La Compagnie construisit ses moulins sur l’île du Fort, un endroit exceptionnellement propice qui n’est pas submergé par les grandes eaux du printemps. Puis, sur un parcours approximatif de trois milles en haut de l’emplacement du moulin, le chenal Tardif, qui sépare l’Île du Fort de la terre ferme, n’a qu’une largeur variant de cinquante à cent pieds. C’est donc un canal naturel qui gardera les billots en flottaison jusqu’à la scie, durant tout l’été si nécessaire. Les promoteurs de la Compagnie des Moulins à vapeur de Pierreville avaient misé sur cet avantage. En effet, par la loi de leur incorporation, ils ont obtenu le droit de construire un bôme fixe à travers le chenal Tardif, à quelques arpents plus bas que le chemin de route qui traverse l’île du Fort. (Ce chemin est aujourd’hui la rue principale dans le secteur Notre-Dame). »
Les premiers directeurs de cette entreprise était des hommes d’affaires montréalais qui avait flairé la bonne affaires en s’installant à Saint-Thomas-de-Pierreville. Messieurs Louis-Adélard Sénécal, louis Tourville, Henri Vassal, Joseph-Guillaume Tranchemontagne et Carlos-Darius Meigs s’associe afin de construire une scierie, un moulin à farine, à carder et à fouler sur l’Île du Fort. Les bureaux du Moulin Tourville sont situés à Montréal et le moulin est à Pierreville. Afin de facilité la distribution du bois, une voie ferrer est installée entre la rivière Saint-François et le Chenal Tardif pour acheminer les billots de la scierie au quai d’embarquement. Deux incendies ont eu lieu, un en 1870 et un autre en 1874, mais ces désastres n’empêchent pas le Moulin Tourville de renaître rapidement. En effet, seulement 47 jours après le deuxième incendie, la scierie est reconstruite avec un agrandissement passant de 15 à 20 pieds. Malheureusement, quelques années plus tard, un autre incendie fait rage et oblige les propriétaires à reconstruire la scierie. « Malgré les difficultés hivernales, les propriétaires reprennent la production 30 jours plus tard.Ces multiples reconstructions obligent sûrement la compagnie à investir plus que nécessaire au niveau de l’infrastructure, ce qui, lorsque s’effondrent les marchés du bois en 1874, place celle-ci dans une très mauvaise situation financière. »
C’est le 26 mars 1878 que la cour supérieure ordonne une saisit des biens de la Compagnie des moulins de Pierreville. C’est la fin du Moulin Tourville.
1870
Sa sépulture a été enterrée dans le caveau du chœur de l’église paroissiale, lors de l’acquisition de l’église par la municipalité de Pierreville en 2012, des ossements ont été retrouvés ainsi qu’un cercueil contenant des restes humains. Il n’est pas exclu que ces restes soient ceux de l’abbé Maurault, fondateur de la paroisse. Voici un texte de Monsieur Réjean Descôteaux, Président de la Société Historique de Pierreville et thanatologue qui raconte leur découverte spectaculaire.
Translation des dépouilles au sous-sol de l’église de Pierreville
Au Québec, plusieurs dépouilles ont été inhumées au sous-sol des églises. Cette façon de faire était réservée aux dignitaires ou aux gens plus fortunés. La paroisse Saint-Thomas-de-Pierreville, qui a été fondée en 1853, ne fait pas exception. En consultant les registres de la paroisse, on dénombre environ 33 sépultures, dont le curé fondateur Joseph Anselme Maurault (1819-1870), décédé le 7 juillet 1870.
Voici un extrait du livre «un siècle de vie paroissiale» écrit par son neveu Mgr. Olivier Maurault prêtre.
« M. Joseph-Anselme Maurault, curé-fondateur de Saint-Thomas-de-Pierreville, repose maintenant dans le caveau du chœur de l’église paroissiale, en avant de la stalle du célébrant, du côté de l’épître»
La pratique religieuse change et ce vent de changement fait en sorte qu’il y a moins de monde dans nos églises pour les offices et les dîmes ne sont plus payées. Les paroisses n’ayant plus les ressources financières pour continuer à faire vivre leur église, se doivent se départir de l’édifice et s’est le cas pour la paroisse Saint-Thomas de Pierreville. Notre église est mise en vente et c’est la municipalité de Pierreville qui s’est porté acquéreur de l’édifice.
Nos élus consultent la population pour trouver une nouvelle vocation à l’édifice. Malheureusement, la municipalité ne réussit pas à trouver une autre vocation sociale et communautaire et doit à son tour s’en départir.
L’édifice devait être vendu à la coopération de solidarité de Santé Shooner et Jauvin pour construire un nouveau complexe ou le restaurer en totalité ou en partie tout en respectant son architecture, mais le projet a avorté.
La municipalité engage des fonds pour la démolition. À la fin de juin 2016, le terrain est libéré de son édifice.
Le terrain est mis en vente et la maison funéraire Yves Houle de Drummondville se porte acquéreur du terrain pour y construire un complexe funéraire. Toutefois, dans le contrat de vente à la municipalité, le diocèse de Nicolet qui nous relie, demande que soient exhumées les 33 sépultures de dignitaires ou de gens plus fortunés inhumés au sous-sol, il y a près de 150 ans et de les inhumer dans le cimetière de la paroisse Saint-Thomas. Je suis demandé, à titre professionnel, par le maire de l’endroit, Monsieur André Descôteaux, pour superviser ces travaux d’exhumation et de translation dans le cimetière de la paroisse. Certaines personnes ressources, de la Société historique de la région se joignent également à l’équipe.
Des découvertes étonnantes
Ce que nous avons découvert au sous-sol de l’église nous a bien étonnés! Il y avait quelques ossements bien sûr, mais aussi un cercueil en bois assez bien conservé. Il avait été construit avec de la planche de pin d’un pouce d’épaisseur et chaque côté du cercueil était recouvert d’une mince feuille d’acier afin de mieux conserver le cercueil et la dépouille. Le cercueil était fait avec un élargissement à la hauteur des épaules pour mieux accueillir le corps. La planche de pin des côtés longs du cercueil n’a pas été coupée, mais ils y ont fait plutôt quelques rainures afin de lui donner une légère courbe sans avoir à la couper ou à clouer deux planches ensemble. Ces planches avaient sur le dessus de minces rebords embouvetés permettant d’y appuyer le couvercle du cercueil et d’y couler du mastic de façon à rendre le tout très hermétique. C’était très ingénieux. C’était tout un cercueil pour l’époque ! Il y avait même un petit hublot vitré à la hauteur de la tête pour voir le visage du défunt au moment de ses funérailles. Comme on n’embaumait pas encore à l’époque, on a dû choisir ce procédé pour permettre aux fidèles de voir leur curé une dernière fois, sans subir les mauvaises odeurs que la dépouille dégageait. Fait étonnant, les ossements de la dépouille qu’on y a trouvée sont encore en assez bons états.
Tous près du crâne il y avait ses cheveux. Le squelette est complet et la dentition est, relativement, en bonne condition. Il n’y a cependant aucun vêtement, tissus ou artefact funéraires comme un chapelet, bague, etc. La vitre du hublot est cassée. J’ai discuté avec monsieur André Descôteaux, non pas le maire de Pierreville, mais le marguillier, l’exécutant des travaux d’exhumation des corps. Il m’a dit que c’est probablement lui qui a cassé la vitre avec sa pelle en voulant sonder le sol.
Les poignées fixés sur le cercueil sont corrodés, mais nous pensons qu’elles ne sont que décoratives. À cette époque, des poignées amovibles étaient fixés sur le cercueil pour le transport. Dans la collection artefacts que je possède, j’ai un modèle de poignées amovibles qui date probablement à la fin du 19e siècle.
Nous présumons que le squelette qui s’y trouve est probablement celui du curé fondateur de la paroisse de l’époque. Cet homme d’Église, très aimé de ses fidèles et de ses pairs. Il était décrit comme un homme de forte stature et le squelette qu’on a trouvé est très grand. Les registres de la paroisse nous portent aussi à croire que ça pourrait être lui. Par contre, nous ne pouvons en être certains à 100 %, car nous ne possédons pas les fonds monétaires pour faire une étude d’ADN.
Cette pratique d’inhumation sous les sous-sols des églises a, un jour, été prohibée à cause des odeurs qui émanaient parfois du lieu et, aussi, du fait de la croissance de la population. Voici le texte de cette loi adoptée le 24 avril 1881 par les marguillers en place :
« Il a été décidé à l’unanimité de ladite assemblée que, vu les inconvénients et la quasi-impossibilité d’inhumer les corps assez profondément, il en résulte, dans l’église de ladite paroisse, des exhalaisons malsaines, et très préjudiciables à la santé du peuple de ladite paroisse. En conséquence d’après l’avis et l’opinion bien prononcés des médecins de ladite paroisse, ladite assemblée a décidé avec l’approbation de sa Grandeur Monseigneur Louis-François Laflèche, évêque de ce diocèse qu’en ce jour, qu’il sera défendu de n’inhumer aucun corps quelconque dans l’église de ladite paroisse. »
Merci à Réjean Descôteaux, Yolande Descheneaux, et René Shooner pour les photos et le texte
1981
Le centre communautaire, une affaire de femmes !
Pourquoi appelle-t-on ça la salle des Six ? Qui était Renaud Baril ? Ce sont des questions que nous nous sommes posées lorsque nous avions travaillé sur le projet de rénovation du centre communautaire. Nous sommes donc parties à la recherche de réponses à nos questions.
C’est en 1981 que l’idée de créer un lieu de rencontre pour les organismes communautaires naît dans la tête des femmes de l’AFEAS. Un soir où elles avaient une rencontre ayant pour but de trouver quelque chose pour mettre de l’action à Pierreville, le lieu de leur rencontre les a inspirées. Elles se rencontraient dans la cafétéria de l’école Maurault, adjacente au gymnase à l’époque, et elles entendaient une équipe de hockey jouer. Cela faisait beaucoup de bruits. Elles étaient assises sur des bancs inconfortables, pas de dossier, et elles n’étaient pas les seules dans cette situation, plusieurs associations vivaient la même chose. C’est alors que madame Marie-Paule Élie Gouin demande à ses consœurs ; « Vous aimez ça l’atmosphère qu’on vit là ? » Cette question anodine était le début du projet de construction du centre communautaire. Les femmes ont décidé de construire une salle à la disposition des associations pour leur offrir un lieu de rencontre agréable. Cette aventure a demandé beaucoup de persévérance pour ces femmes qui au départ étaient folles pour certains. Plusieurs croyaient qu’elles ne réussiraient jamais un tel projet. Ces commentaires n’ont pas empêché les six femmes du comité responsable de la construction du centre, de mener ce projet de front et dans l’harmonie. Une expérience extraordinaire, selon madame Gouin.
Elles sont donc parties à la recherche d’un architecte, d’un terrain et d’argent pour mettre sur pied leur projet. Elles ont demandé au député fédéral de l’époque, monsieur Louis Leduc, si une subvention pourrait leur être accordée. Heureusement, de l’argent était disponible pour elles. Monsieur Leduc donna sa parole que la subvention couvrira la totalité des frais à condition qu’elles aient un terrain. Cette subvention s’élevait à 310 000 $. Elles avaient trouvé le terrain idéal, soit celui situé entre l’école Maurault et la sacristie. Ce terrain appartenait à la fois à la Commission scolaire et à la paroisse. Avec le soutien moral et financier du curé de l’époque, monsieur Renaud Baril, une entente a été faite entre l’AFÉAS et la Fabrique de Pierreville engageant cette dernière à leur vendre le terrain de 5 500 p2 au prix de 1 $ le pied carré, ce qui représente la moitié de sa valeur. Le projet pouvait donc commencer. Après quatre ans de travail, c’est en mai 1985 que la première pelletée de terre a été faite. Présent ce jour-là, le député fédéral, monsieur Louis Plamondon, était très fier de récolter les honneurs semés par son prédécesseur, monsieur Leduc.
L’idée de créer un passage intérieur reliant l’école au centre communautaire a été proposée par madame Lucie Pépin, enseignante à l’école Maurault. L’école avait un besoin criant d’avoir un gymnase adapté aux activités pratiquées lors des cours d’éducation physique. Ce qui a permis au comité d’obtenir un loyer annuel de la commission scolaire représentant 65 % des coûts d’administration. Afin de trouver d’autres fonds pour l’entretien du centre, les six femmes du comité responsable de la construction ont fait des collectes de fonds. Pour ce faire, une lettre a été envoyée à la population pour appeler à l’action. Cette lettre rappelait à la population que le centre est construit pour eux.
« Le centre communautaire appartient à Pierreville. La subvention fut accordée à la population de Pierreville. Donc, le centre communautaire c’est TON CENTRE. Tous les citoyens de Pierreville y auront accès. » (Extrait de la lettre envoyée à la population écrite par madame Gilberte Faucher)
La population a été très généreuse, peu de gens ont refusé de donner de l’argent. Elles ont d’ailleurs fait faire une plaque des généreux donateurs pour les dons de 100 $ et plus. Cette plaque est toujours présente dans le centre communautaire.
Pendant une dizaine d’années, le comité d’entretien prenait en charge les frais. Leur principale source de revenus, outre la contribution de la Commission scolaire, était la location des salles. Cette dernière était aussi prise en charge par le comité. Au bout d’un moment, les moyens venaient à manquer. Ils ont dû céder le centre communautaire à la municipalité du Village de Pierreville pour la somme symbolique de 1 $. Les démarches de municipalisation du centre communautaire ont commencé au début de l’année 1990. C’est en janvier 1993 que la municipalité du Village de Pierreville a pris possession du centre communautaire de Pierreville.
Cette initiative a permis à six femmes, mesdames Claudette Thibault, Claire Nadeau, Gilberte Faucher, Marielle Descôteaux, Marie-Paule Gouin et Pauline Caya Laramée, de laisser leurs traces dans leur municipalité et d’en inspirer d’autres. Ces femmes qui au départ étaient considérées comme folles ont réussi. Tout ceci avec le soutien des organismes qui les appuyaient et de la population. Elles ont créé le lieu de rassemblement idéal pour les organismes de la région. Ce projet leur a permis de recevoir le Prix action communautaire.
Alors voilà d’où vient le nom de la salle des Six, en hommage à ces six femmes fondatrices de notre centre communautaire. Et vous savez maintenant qui est Renaud Baril, cet homme d’Église qui a apporté son support à ce projet qui lui tenait à cœur lui aussi. Afin de perpétuer l’histoire du centre communautaire, et de permettre aux générations futures d’en connaître l’origine, des plaques commémoratives seront installées à l’entrée desdites salles après les rénovations du centre.
1998
Le 31 juillet 1998, la Municipalité de Pierreville a signé un charte d’amitié avec la communauté de La-Membrolle-sur-Choisille, en France. Cette charte permet d’approfondir la compréhension mutuelle de l’amitié entre les habitants de Pierreville et ceux de La-Membrolle-sur-Choisille, et par delà, entre le Québec et la France et servira le développement des deux parties.
2001
Dans la foulé des fusions municipales du début du siècle, les municipalités de la région du Bas-Saint-François ont pris la décision de se mettre ensemble afin d’offrir à leur population les meilleurs services possibles. Cette vague de fusion a créé la municipalité de Pierreville comme nous la connaissons aujourd’hui en fusionnant les municipalités de Notre-Dame-de-Pierreville, de Saint-Thomas-de-Pierreville et Pierreville.
2016
Visite virtuelle de l’église